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Résultats scientifiques

Les avantages apportés par le produit

Performance du Système BIOTOP en tant que système de culture hors sol

Culture des tomates anciennes

1.	Culture des tomates anciennes La recherche scientifique a prouvé que le système BIOTOP est deux à trois fois plus performant qu’une agriculture traditionnelle en plein champ.

Ainsi, la culture des tomates donne un rendement de 20 tonnes à l’hectare (2 kg/m2) en champ.

La culture de la tomate ancienne de variété Heirloom en bacs BIOTOP donne un rendement de 67 tonnes à l’hectare (6,7 kg/m2).

Références :

Mme Heather Wray, Urban Agriculture Society, Faculty of Civil Engineering, University of Toronto

M. Nel Ewane, agr Action Communiterre, Montréal

Dr Yolande Dalpé, Agriculture et Agro-alimentaire Canada

Notre clientèle a démontré noir sur blanc que ce résultat peut être reproduit à tout coup dans la mesure ou l’utilisateur respecte à la lettre le mode d’emploi fourni avec notre système de culture.

Culture des tomates hybrides

La recherche scientifique a prouvé que le système BIOTOP est quatre fois plus performant qu’une agriculture traditionnelle en plein champ.

Ainsi, la culture des tomates donne un rendement de 20 tonnes à l’hectare (2 kg/m2) en champ.

La culture de la tomate de champ hybride génétiquement déterminée de variété Bobcat en bacs BIOTOP donne un rendement de 90 tonnes à l’hectare (9 kg/m2).

Références :

M. Nel Ewane, agr Action Communiterre, Montréal

Notre clientèle a démontré noir sur blanc que ce résultat peut être reproduit à tout coup dans la mesure ou l’utilisateur respecte à la lettre le mode d’emploi fourni avec notre système de culture.

De fait, plusieurs utilisateurs ont confirmé la très haute performance offerte par les variétés hybrides de plants de tomates de croissance génétiquement déterminées. Ainsi, la populaire variété Big Beef produira 6 grappes de fleurs pouvant être gérées à 5 fleurons par grappe, dont la fécondation produiront par conséquent 30 tomates par plant, par saison estivale nordique sur le balcon ensoleillé. À raison de deux plants par unité de culture, il est possible d’obtenir 60 tomates de première qualité, mûries au soleil sur le plant, sans douleur ni erreur. Un poids moyen de 200 grammes par fruit signifie une récolte de 12 kilogrammes par bac par saison, ce qui est considérable.

Performance du Système BIOTOP en économie d’eau

3.	Performance du Système BIOTOP en économie d’eauLa recherche scientifique a prouvé que le système BIOTOP est deux à trois fois plus économique en eau d’arrosage que la culture en plein champ.

Ainsi, la culture des tomates nécessite jusqu’à 40 litres d’eau par saison pour produire une tomate. La culture des tomates en bacs BIOTOP nécessite 15 litres d’eau par tomate.

Références :

M. Nel Ewane, agr Action Communiterre, Montréal

Notre clientèle a démontré noir sur blanc que ce résultat peut être reproduit à tout coup dans la mesure ou l’utilisateur respecte à la lettre le mode d’emploi fourni avec notre système de culture.

Performance du Système BIOTOP en séquestration de carbone

4.	Performance du Système BIOTOP en séquestration de carboneLa recherche scientifique a prouvé que le système BIOTOP séquestre efficacement le carbone atmosphérique, en plus d’agir comme un excellent filtre à poussière urbaine, de par la grande quantité de biomasse foliaire obtenue.

Ainsi, une seule unité de culture BIOTOP peut séquestrer, en moyenne, 400 grammes de dioxide de carbone par été nordique, en pleine ville.

Référence : Données de biomasse fraîche et sèche de l’équipe du Dr Yolande Dalpé, Agriculture et Agro-Alimentaire Canada.

Performance du Système BIOTOP dans la réduction de l’effet des îlots de chaleur urbains.

Performance du Système BIOTOP dans la réduction de l’effet des îlots de chaleur urbains.

L’abondante couverture végétale rendue possible par le système BIOTOP permet de créer une sorte de climatisation naturelle pour les édifices.

La cueillette de données thermiques par le biais de senseurs infrarouges prouve noir sur blanc qu’une toiture végétalisée par le biais du système BIOTOP absorbe jusqu’à 60 % de la chaleur ambiante. Ainsi, la température de 80 degrés Celsius du toit est réduite à 45 degrés avec une couverture végétale. Sous la canopée végétale, la température autour de la membrane de couverture est de 20 degrés. C’est comme si le bâtiment était situé à l’ombre. La protection UV est elle aussi considérablement augmentée.

Référence : Simon Lepage, architecte, cofondateur de l’organisme Les Urbainculteurs.

Données disponibles sur demande.

Biotop, c’est un puits pluvial

6.	Biotop, c’est un puits pluvialUne densité maximale de 5 bacs au mètre carré de toiture recouverte d’unités de culture BIOTOP jumelées permet de récolter 50 litres d’eau de pluie au mètre carré. Un tel volume d’eau de pluie correspond à 100 millimètres d’eau, ce qui correspond à une averse continuelle qui dure une journée entière. Ce volume d’eau de pluie, utilisé par les plantes, évite d’encombrer les infrastructures pluviales et sanitaires de la ville lors d’une pluie forte.

Référence : Simon Lepage, architecte, cofondateur de l’organisme Les Urbainculteurs

Poids ultraléger du Système BIOTOP sur une toiture.

7.	Poids ultra léger du Système BIOTOP sur une toitureBien plus qu’un simple système de végétalisation ultraléger, le Système BIOTOP constitue une technologie de potager ultraléger, afin de créer des espaces verts urbains comestibles et communautaires. Son poids ultraléger comparé aux autres systèmes de culture en fait une technologie incontournable afin de végétaliser tout espace minéralisé sans changer la structure de toit déjà existante ou sans avoir à apporter des modifications structurelles au bâtiment. Une densité de 2 bacs par mètre carré apporte une charge n’excédant pas 2X 50 livres = 100 livres (50 kilogrammes) par verge carrée (mètre carré) de toiture, c’est-à-dire 10 livres (5 kilogrammes) au pied carré. Au Québec, le code du bâtiment prévoit que toute surface de toit doit supporter au moins 45 livres au pied carré de charge de neige et de glace. Référence : Simon Lepage, architecte, cofondateur de l’organisme Les Urbainculteurs.